A la mesure de mon corps

Exposition / travail in situ. Galerie Arena, Arles, 26 avril 2019.


Les installations présentées à la galerie Arena articulaient deux formats : mon corps et l’A4. Dans leur confrontation, des jeux de redimensionnement, de contrainte et de recadrage.
Mon corps et l’A4, deux espaces qui s’inscrivaient dans un troisième, celui de la galerie ; lieu que j’ai redéfini avec mes dimensions propres, en termes de toise-Mathilde. Intervenant comme règle du jeu, cette toise a alors déterminé l’emplacement de tous les éléments présents.
Mon corps, l’A4 et la galerie. Mais mon corps n’était pas le seul à être là. Il y avait aussi le corps des autres. S’adossant près d’un socle réalisé à mes dimensions – sorte de cercueil fait sur mesure – l’on me dit : « je n’aurais été si proche de vous ».


Plan de salle

A la mesure de mon corps

Exposition / travail in situ.
Galerie Arena, Arles, avril 2019.


Les installations présentées à la galerie Arena articulaient deux formats : mon corps et l’A4. Dans leur confrontation, des jeux de redimensionnement, de contrainte et de recadrage.
Mon corps et l’A4, deux espaces qui s’inscrivaient dans un troisième, celui de la galerie ; lieu que j’ai redéfini avec mes dimensions propres, en termes de toise-Mathilde. Intervenant comme règle du jeu, cette toise a alors déterminé l’emplacement de tous les éléments présents.
Mon corps, l’A4 et la galerie. Mais mon corps n’était pas le seul à être là. Il y avait aussi le corps des autres. S’adossant près d’un socle réalisé à mes dimensions – sorte de cercueil fait sur mesure – l’on me dit : « je n’aurais été si proche de vous ».

Vues d’exposition, A la mesure de mon corps, Galerie Arena, Arles, avril 2019. Photographies : Nicolas Cantin.

A la mesure de mon corps

Exposition / travail in situ.
Galerie Arena, Arles, avril 2019.


Les installations présentées à la galerie Arena articulaient deux formats : mon corps et l’A4. Dans leur confrontation, des jeux de redimensionnement, de contrainte et de recadrage.
Mon corps et l’A4, deux espaces qui s’inscrivaient dans un troisième, celui de la galerie ; lieu que j’ai redéfini avec mes dimensions propres, en termes de toise-Mathilde. Intervenant comme règle du jeu, cette toise a alors déterminé l’emplacement de tous les éléments présents.
Mon corps, l’A4 et la galerie. Mais mon corps n’était pas le seul à être là. Il y avait aussi le corps des autres. S’adossant près d’un socle réalisé à mes dimensions – sorte de cercueil fait sur mesure – l’on me dit : « je n’aurais été si proche de vous ».